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mwanashaba
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La Sécession Katangaise (1960-1963) L'État du Katanga est le nom pris par la province du Katanga lorsqu'elle déclara unilatéralement son indépendance, deux semaines après l'accession du Congo à l'indépendance. Un acteur mis en exergue en la personne de Moïse KAPENDA TSHOMBE, mais la sécession Katangaise sous l'impulsion d’acteurs Belges, fut en tout cas une émanation des milieux d'affaires pro-occidentaux et en premier l’Union Minière du Katanga (UMHK).
Du contexte de l'indépendance : En mai 1960, les élections en vue de l’indépendance donnent la victoire au MNC de Patrice Lumumba, qui va laisser néanmoins la présidence à Joseph Kasavubu, après la proclamation de l’indépendance, à Léopoldville, le 30 juin 1960.
Dès cette date, les violences de ce que deviendra la crise congolaise se multiplient, tandis que les partis exclus du gouvernement contribuent se rébellent ; la force publique va connaître une mutinerie ; en vue de ramener le calme et de protéger les Européens toujours présents dans le pays, les forces belges demeurées sur le territoire sont renforcées par des troupes venues de Belgique. La population interprète ces opérations comme une tentative de retour de la puissance coloniale. S’ensuivent des actes de violence contre les Européens, à Léopoldville en particulier. Dès lors, la population d’origine européenne commence à émigrer massivement, et le retrait soudain d’une grande partie des capitaux étrangers conduit rapidement le pays à la catastrophe financière.
Acculé, le gouvernement de Léopoldville puise dans les réserves de devises générées par le Katanga, ce que la majorité des sociétés, minières notamment, implantées au Katanga ne tolèrent plus. Elles réagissent rapidement et se rangent massivement aux côtés de la Confédération des associations tribales du Katanga (CONAKAT) pour initier la sécession de la province. Et naquît l’Etat Indépendant du Katanga : Ainsi, Le 11 juillet 1960, soit moins de deux semaines après l’indépendance du Congo-Kinshasa, Moïse TSHOMBE proclame l’indépendance du Katanga avec l’appui de la puissante Union minière du Haut Katanga (UMHK). Il va solliciter l’aide militaire et logistique belge prétextant la protection de ses nombreux ressortissants présents dans la province ; la Belgique va ainsi reconduire des troupes au Katanga.
Le nouvel « Etat du Katanga » va battre sa monnaie, une monnaie forte, le Franc Katangais ; faudra-t-il noter que le Franc Katangais avait stricte parité avec le Franc Belge. Le Katanga va créer une police ainsi qu’une armée dite « Gendarmerie Katangaise ». Attribut essentiel de la souveraineté nationale, le Katanga sécessionniste dut se doter rapidement d’un drapeau, ainsi que d’un emblème. Le choix se porta sur un drapeau rouge et blanc barré obliquement de vert et comportant trois croisettes monétaires katangaises. Ce drapeau avait été conçu par une agence de publicité d'Élisabethville : la barre et les couleurs correspondaient au souhait émis en mai 1960 par les membres katangais du Collège exécutif général du Congo quant au choix du futur drapeau congolais. Le rouge symbolise la bravoure du peuple Katangais et le sang qu'il verse pour défendre sa patrie, le vert l'espoir et le blanc la pureté; quant aux croisettes katangaises, elles sont un emblème ancien de la région et symbolise sa richesse minière, elles sont par ailleurs déjà reprises dans le blason d'Élisabethville. Le drapeau a ensuite été reproduit sous la forme d'un blason pour former les armoiries de l'État. Bien qu’elles soient fréquemment utilisées par les autorités, il n'est pas sûr qu’elles aient été officialisées.
Quoi qu’il en soit le blason pourrait être décrit comme suit : Taillé de gueules et d'argent à la barre de sinople brochant sur la partition et accompagnée en pointe de trois croisettes monétaires katangaises au naturel (couleur cuivre rouge).
La Sécession du Katanga est donc déclarée le 11 juillet 1960 ; en vedette, « le triumvirat Moïse KAPENDA TSHOMBE, Jean-Baptiste KIBWE et Godefroid MUNONGO ». Ils seront respectivement Président de l’Etat Indépendant du Katanga, Ministre des Finances et Ministre de l’Intérieur et de la Sécurité du Territoire. En la date précitée soit le 11 juillet 1960, Moïse KAPENDA TSHOMBE s'autoproclame président de l’Etat Indépendant du Katanga au micro du studio de Radio-Collège, (une station créée en 1946 par un professeur de sciences du collège Saint François de Sales, le père Dethier, radioamateur passionné). Il est élu président, Elisabethville est la capitale de l’État Indépendant du Katanga, avec l'assentiment tacite de la plupart des gouvernements étrangers. Ce jeune Etat est politiquement non viable, mais la Belgique le soutient cependant de manière officieuse ; le Katanga garde les noyaux techniques et les conseillers belges.
Ces derniers se mettent en bloc au service de "leur" pays d'adoption et acquièrent la nationalité Katangaise. Les jeunes qui sont nés au Congo, et plus particulièrement les jeunes katangais, s'engagent avec ferveur et conviction dans la Gendarmerie Katangaise ou la soutiennent. De partout, des hommes s'engageront sous les croisettes de la bannière katangaise contre les forces de l'ONU dépêchées sur place par le gouvernement central de Léopoldville. La non reconnaissance par l’ONU empêchera la Belgique de l’appuyer autant que l’auraient voulu les groupes financiers. Il faut savoir que le Katanga produisait de la pechblende dont on tire l’uranium et le radium. Les Américains, gros consommateurs et principaux acheteurs ne voulaient pas de l’Indépendance du Katanga sous l’égide de la Belgique. D’autre part la France lorgnait vers ce pays qui, 26 fois plus grand qu’elle, regorge de richesses minières incalculables. L’ONU refusa donc de reconnaître le Katanga et envoya même des troupes pour aider au rétablissement du régime de Léopoldville.
Le Katanga prospère tandis que le Congo Léo se meurt. Débarrassé du marasme de la gestion de Léopoldville, soutenu par la collaboration de ses meilleurs éléments, ses richesses lui redevenant propres - au grand dépit du gouvernement central de Léo - Une exposition internationale est organisée par le nouvel état sur le terrain de l'ancien Musée. Elle connaît un franc succès et donne l'occasion à la ville d'ouvrir de nouvelles rues, d'ériger de nouveaux bâtiments. L'Hôtel de Ville, face au Palais de Justice, est inauguré en grande pompe. C'est alors un des plus hauts bâtiments d'Élisabethville et certainement le plus moderne de l'époque. Le Katanga va vivre une époque d'euphorie ; sur cette terre, le lait et le miel a coulé (dixit Jean-Baptiste KIBWE PAMPALA, un des instigateurs de la Sécession Katangaise). Pour l’implication militaire de l’ONU : Le 28 janvier 1961, par une lettre adressée à Dag Hammarskjöld, le président Kasavubu et le nouveau chef du gouvernement, le président du « Collège des Commissaires généraux », Bomboko, réclament, pour la seconde fois, l’assistance militaire de l’ONU pour réduire les « gouvernements de fait » provinciaux. Mais l’orientation politique du pouvoir central s’est modifiée après l’élimination de Lumumba : les gouvernants de Léopoldville n’entendent plus agir contre le Katanga, dont ils tiennent désormais le gouvernement pour « légal », mais contre les Exécutifs de la Province orientale et du Kivu, qui sont d’obédience « lumumbiste ». Le président Kasavubu demande que « les forces des Nations unies interviennent, au besoin par la force, pour rétablir les autorités légales dans leurs attributions ».
La résolution du 21 février 1961 du Conseil de sécurité semble répondre exactement aux vœux de Léopoldville : les forces de l’ONU « pourront avoir recours à la force, si besoin est ». Mais la force, loin d’être utilisée contre le « gouvernement de fait » d’Antoine Gizenga, à Stanleyville (Province orientale), le sera, à partir des derniers jours d’août 1961, contre le « gouvernement légal » katangais de Moïse Tshombe. Cependant, l’État du Katanga ne sera jamais reconnu par l’ONU, puisque les deux superpuissances de l’époque, États-Unis et URSS, affichent des positions fermement anticoloniales. Allant plus loin encore, le Conseil de sécurité des Nations unies répond à l’appel du Premier ministre congolais Patrice Lumumba et demande le retrait des Belges. La marge de manœuvre de l’ancienne puissance coloniale se réduit alors progressivement, et bien que le nouvel État du Katanga garde de nombreux cadres techniques et conseillers belges, il doit très tôt renforcer sa Gendarmerie en faisant appel à des mercenaires, les célèbres Affreux, parmi lesquels, Bob Denard.
La force de l’ONU remplace alors progressivement les troupes belges, mais n’intervient pas directement. Dès lors, Patrice Lumumba se tourne ouvertement vers les Soviétiques. Pendant toute la crise, l’économie Katangaise reste en bonne florissante tandis que le reste du Congo sombre dans la misère. En effet pendant toute la durée de la sécession, l’activité minière bat son plein et les compagnies minières versent correctement leurs impôts à l’Etat sécessionniste. L’ONU va débarquer : Le 21 février 1961, le Conseil de sécurité décide d’envoyer des Casques bleus rétablir l’ordre au Congo.
À la fin de l’année, l’armée nationale congolaise et les troupes de l’ONU lancent une attaque militaire contre la gendarmerie Katangaise. Alors qu’il négocie un cessez-le-feu entre les troupes de l’ONU et les forces katangaises, le secrétaire général de l’ONU, Dag Hammarskjöld, trouve la mort dans un accident d’avion, dont les circonstances n’ont jamais été élucidées. En décembre 1962, les forces de l’ONU prennent le contrôle d’Élisabethville après de durs affrontements avec la gendarmerie Katangaise. 21 nations envahissent le Katanga : Les troupes de l'ONU constituées initialement de forces suédoises "investissent" le Katanga et plus particulièrement sa capitale. Ces troupes trouvent à Élisabethville l'équivalent des "délices de Capoue". Elles ne combattent pas et fraternisent très rapidement avec les jolies katangaises. Ainsi, on peut les rencontrer au Lido, en maillot de bain, batifolant avec l'ennemi, la mitraillette négligemment posée sur les bancs de la terrasse qui surplombe les jardins descendant vers la Lubumbashi. Cette situation de "gel des opérations" ne tarde pas à inquiéter Léopoldville. Elle en avise les autorités de l'ONU qui envoie alors un contingent de Gurkhas. Les soldats Gurkhas sont loin d'avoir la même conception de l'art de la guerre que les suédois. Ce sont d’impitoyables faiseurs d’horreur.
Ils sont féroces et possèdent les vertus nécessaires pour mener une guerre sauvage aux Katangais. Ils commencent par encercler la ville et la soumettent bientôt à un tir nourri de mortiers. La belle ville est bombardée ! Les plus beaux quartiers sont touchés. Des dizaines de villas subissent les explosions d'obus. Les combats sont sporadiques mais bien menés. La gendarmerie katangaise est pleine de bonne volonté et ses "affreux" infligent souvent, par la connaissance parfaite des lieux, des revers aux envahisseurs. Indonésiens, Ethiopiens, Irlandais, Indiens, Suédois, Américains, Marocains, … près de 21 nations vont coaliser contre la détermination du peuple Katangais.
Le Katanga va résister et va affliger de la punition aux troupes de l’ONU. Des stratégies sont montées, un engin blindé dénommé « Mammouth » en fera voir de toutes les couleurs aux soldats des Nations Unies. Des ruses seront utilisées afin d'obliger l'ONU à disperser ses forces. L'aviation katangaise utilisera au mieux son Fouga-Magister pour bombarder des pistes et des colonnes onusiennes. Et tout malheureusement, certains quartiers d'Élisabethville seront défigurés par des tirs de mortiers Sous la pression de l'ONU et par la voix de son Président Dag Hammarskjöld qui lui promet un statut indépendant, le Katanga entreprend de longues négociations afin de revenir dans le giron du gouvernement central. Moïse Tshombe ne peut tenir plus longtemps, il cède, malgré la forte résistance des Katangais qui s'opposeront aux exactions de l'ONU. En effet, le « Livre Blanc » édité au Katanga dénonce d’incroyables exactions commises par l'ONU sur les populations Katangaises.
Quoique controversé ce livre retrace les événements de septembre 61 notamment l'attaque de la poste et des cas de massacre sur les civiles, la destruction méchante de Radio Katanga ainsi que les évènements douloureux de décembre 1961. Le Katanga capitule : L’ONUC va négocier la fin des hostilités ; Moïse TSHOMBE est contraint d’accepter. Il va être obligé de se retirer, d’abord vers Kolwezi avant de déclarer officiellement la fin de la Sécession Katangaise le 15 janvier 1963 ; Moïse TSHOMBE est amnistié, lui, et ses partisans dont les troupes Katangaises qui vont prendre la route d’exile. La sécession Katangaise prend fin le 17 janvier 1963 et revient dans le giron du Congo central. Des exécutions sommaires auront lieu sous le commandement de l'ONU. Les troupes katangaises ne peuvent indéfiniment se battre... Au terme de deux années de guerre larvée, sous le nombre d'effectifs et la qualité de l'armement des forces de l'ONU, sous la pression énorme des politiques étrangères, les Katangais sont forcés de rendre les armes.
Le Katanga Indépendant a vécu...
Par Norbert Wibyala-RDC.
jusqu'à quand allons-nous attendre voir de nouveau ce beau drapeau flotter dsur notre cher patrie le katanga? Nous attendons de vives voies la realisation de grand revehttp://yahoo.centerblog.net
Les époques sont différentes et les hommes aussi....bien que souhaitée par la majorité des katangais, la sécession ne peut être une bonne chose que dans la mesure où on a des animateurs politiques sérieux et honnêtes. Pas comme ceux qui dirigent le Katanga actuellement avec une classe politique médiocre et qui est là pour ses intérêts et je ne mâche pas mes mots : Sécession avec Kyungu wa Kumwanza (sataniste) et Moïse Katumbi (Maffiosi) sera pire que maintenant c'est-à-dire (pas de politique d'emploi, pas de libertés de la presse, pas de démocratie donc pas de développement véritable, pas d'eau, pas d'électricité, dictature éventuelle, existence des milices (archaïsme). Sachons chercher l'idéal avec une autre classe politique surtout craignant Dieu.comme tu l'as bien dis les époques sont différentes et les hommes aussi.ils ne sont pas les seules qui puissent nous amener à celà; tu peux etre l'un de ceux qui puissent etre à mesure de le faire. nous comptons pas seulement sur eux pour concretiser ce grand reve. c'est une affaire de tous les ketangais que ça soit dans la diaspora ou localement.D'ailleur, nous en avons les moyens.C'est une question seulement de temps et de décision.Et si vous avez une adresse ou adhérer faites-le moi savoir.http://yahoo.centerblog.net
Cela fait du bien quand on a tué les Katangais. Aujourd'hui, tout le monde pleure parce que ... parce que....Ce que vous devez retenir, cette fameuse communauté internationale sera punie !!! Un jour, Dieu dira non, trop c'est trop.
A Monsieur anonyme,On tue tous les jours et la vie d'un homme est sacrée et on ne peut avoir un plaisir de voir des gens êtres tués. Le problème du Katanga est profond est nécessite une prise de conscience collective de tous les katangais. Aujourd'hui, nous sommes dans un pays où toutes les instances sont dirigées par des katangais (Président de la république, ministre de la défense, gouverneur de la banque.....) et au Katanga, ce sont des fils du terroir qui sont à la tête de toutes les institutions mais la population croupit dans une misère profonde. Et cela ne semble pas affecter nos dirigeants. Est-ce que la sécession est une garantie pour arriver au bien-être ? Avec la sagesse que je possède, je dis non, non, non... Le problème doit d'abord commencer par la reconversion de nos mentalités, gage première à toute base de développement.
Et si sécession doit avoir lieu, qui seront les initiateurs ? Pas avec des mouvements fantoches (bakata katanga) qui viennent avec des amulettes, des fétiches pour soit disant couper le Katanga, c'est ridicule. Je vous recommande de visionner la vidéo : les bakata katanga à Lubumbashi et vous comprendrez que c'est burlesque de croire que ces gens peuvent faire quelque chose dans ce sens. Il reste les ex-gendarmes katangais (tigres) qui sont basés en Angola. Que sont ils devenus ? Je fais des recherches sur eux et je vous tiendrais informés mais je sais qu'ils sont du côté de l'enclave de Cabinda entrain de combattre les FLEC......
Jaimerais savoir ce qu'est devenu un belge du nom de Claude Ans toine qui combattait pour Tschomé dans les années 1960 , 40 ans plus tard j'attend encore que l'on me dise ce qu'il est devenu, s'il est mort, ou je peux lui rendre hommagej'étais sa fiancée et je voudrais enfin savoir ce qui est arrivé avant de mourir
Il y'avait la guerre mais tout le monde mangeait à sa faim.
(mon enfance au Katanga)
http://zjdhy.centerblog.net
Le problème que nous avons ici au Katanga, c'est que nous n'avons aucun leader politique qui se soucie du bien être des katangais. Si il y en a un qu'on me le cite.........Prenons nous en charge c'est ça la solution.
Le Katanga mon KatangaPourquoi tu es devenu un terrain à la ruser de tout le monde.Tes populations affamées et dépourvue de tout ne font que payer le prix; l'ironie de l'histoire ne fait que suivre ton destin .Même si tu cherche a te cacher,personne ne veut te laisser en paix.Le virus et le complot de ta déstabilisation totale continue a te ronger jusqu'à nos jours.Tes vrai leaders,certains d'entre -eux on change' de camps ; d'autres ont été anéanties et personne ne defend plus ta cause.Tu commence a ressembler a un vieux lion sans dents ni griffes ,qui a perdu les traces de sa future succession.Mais un lion reste tjrs un lion ... c'est comme un coup de poing en plein milieu de la poitrine qui cause une grande hémorragie dans le coeur du Katanga . Dès lors tes peuple ne savent plus en qui confier leur espoir et commence a perdre la foi.C'est une tristesse notoire qui fait la honte du Katanga.
Ton agenda de tout le temps est mis dans les oubliettes et nous ne savons même plus sur quel pied danser.
Personne a le courage de dire tout haut qu'il est temps d'arrêter le pillage , la trahison et les injustices sur les pauvres peuples du Katanga;car le temps est venu de faire le grand bilan et de se dire la vérité' que dans les cinquante ans rien n'a marché' au contraire tu te retrouve à genoux et même diviser a jamais.
Je pleure mon Katanga car c'est la ou repose les entrailles de mes ancêtres, les mangeurs du Cuivre;c'est la ou j'ai vécu la belle époque ; c'est bien mon Katanga la ou je reve qu'un bon jour viendra,les choses changeront pour le meilleur.
Ta Grande Generale de Carrière et des Mines ,qui faisait te fierté et qui était le poumon de toute la république a été mis en moule avec la complicité des tes propre fils; toutes tes réserves minières qui devait profiter meme a notre progénitures,sont entrain d'être épuisé',pielle a la vitesse de croisière comme si demain n'existait pas. Ton peuple ne profit en rien de toutes ses richesses.
Oh Oh mon Katanga, c'est de toi mon Katanga que je pleure du fond de mon coeur;c'est de toi le Katanga de Moïse Tshombe, de Munongo Godefroid , de Kibwe Pampala , de Kyungu wa kuwanza, de Lukonde Kyenge , de Kafitwe wa paboa , de Lumande Kilufia , de Lunda Bululu, de Nguz a karl... C'est toute la nation Congolaise qui se moque de toi car l'histoire continue a s'acharner sur toi.Oh mon Katanga...
Sache que le mal que je ressens au fond de moi en ce moment,la douleur qui peine mon coeur,mes larmes qui devient de plus en plus salée et qui ne cesse de couler jours après jour commence a fortifié mon âme et me rend de plus en plus fort.Oh mon Katanga,sache que nos forces et celle nos génération future viendront changer ton destin a n'importe quel prix.
Leon Kafitwe
http://gmail.centerblog.net
Claude Antoine qui était dentiste mercenaire ?